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 Vamos à la playa | Lily

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Armel Le Gereg

Armel Le Gereg


Age : 31
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MessageSujet: Vamos à la playa | Lily   Vamos à la playa | Lily EmptyJeu 2 Oct - 16:46

J'ai zigouillé la bonne femme de devant. Je l’ai regardé s’effondrer devant moi et j’ai pas pu m’empêcher de sourire lorsque je l’ai entendu couiner après s’être reçu mon caillou en pleine gueule. Faut dire qu’elle m’emmerdait depuis un moment ; mais vu que je suis un gentleman, je n’osais pas lui dire de se la fermer. Mon corps s’en est chargé pour moi, du coup. A peine assis parterre que mon bras a attrapé un galet et lui a balancé à la gueule.  Même la vieille fioque à coté de la moche n’a pas vu le coup venir ; éclair et tonnerre, elle s’est effondrée.
Tu vois, parfois, je déteste ma maladie. Pour t'expliquer, je souffre de ce que l’on nomme le syndrome de la « main étrangère ».  Si tu changes beaucoup de lettres, ça veut dire que je ne contrôle pas du tout ce que fait ma main gauche. Du coup, elle fait ce qui lui chante, vit sans me demander la permission, s’amuse comme elle peut. Et comme là, la gonzesse rousse (Rukia, d’après ce que j’ai compris) la gavait avec ses cris et gesticulations, ma main a décidé d’intervenir et en a profité pour réduire au silence, une bonne fois pour toute, cette effrayante jeune femme. Alors tu vois, si d’habitude je hais cette maladie, aujourd’hui, elle a été plutôt secourable. Elle a du moins sauver mon ouïe d’une mort certaine. Sauf que maintenant, j’ai intérêt à me barrer vite fait. Parce que la fioque aux cheveux d’argent, j’sais pas pourquoi, je la sens pas. A son regard, je sens qu’il sait que je sais que nous savons. Ou un truc du genre ; tu comprends l’idée, on va pas y rester trois plombes.

Bref, je me prends mes jambes à mon coup et me barre d’ici. C’est trop dangereux. Y’a trop de cailloux et qui sait si j’vais pas tenter d’assommer quelqu’un d’autre, sans faire exprès. Ce serait con de finir ses vacances en taule, juste parce qu’une connasse de rousse a décidé de me les casser avec son complexe d’Œdipe non résolu. Sans vraiment trop savoir où j’me dirige, j’empreinte un petit chemin, un peu plus loin sur la droite (8D). En fait, je ne sais même pas pourquoi je suis parti en vacances à Suna parce que, bordel, y’a vraiment à y faire. Y’a du sable et… Voilà. En même temps, j’aurais dû me douter que la promotion de 50% sur le prix du voyage cachait une arnaque. Mais que veux-tu, je suis trop naïf pour remettre en question les bonnes intentions des gens. Ca m’apprendra. J’te jure, être con, c’est pas facile tous les jours.

J’passe une main sur mon front. Je sue, c’est dégueulasse. Le seul truc qui me conforte, c’est que je suis pas le seul débile à m’être embarqué dans cette saloperie de voyage. Y’a les deux crétins que j’ai assommé et encore plein d’autres crétins. C’est dans ces moments-là que je me dis que je vis dans une idiocratie. C’est déprimant. Tout aussi déprimant que cette saloperie de ciel bleu qui n’offre pas un pet’ de vent. Je soupire et m’allonge sur le sable. Je m’amuse quelques secondes avec lui, puis m’allume une clope. Je la fume tranquillement, me plais à observer ce ciel si vide d’intérêt. Je me fous de sa gueule, puis jette mon mégot quelque part.  Mon histoire aurait pu s’arrêter là. Sauf que voilà, j’me rends compte que j’ai balancé ma clope, encore parfaitement allumée, à la tronche d’une nana. Et que ma main gauche en a profité pour faire encore la conne et lui a lancé le contenu de ma bouteille d’eau au visage. Oups.

Je me lève, comme pour l’aider ou au moins m’excuser platement. Ma main ne coopère pas, elle tire sur son T-shirt. J’vois son soutif. Putain. Je rougis, je sais pas quoi dire. Faut dire que je bug un peu sur sa poitrine quasi-inexistante. Après tout, des seins restent des seins. Et moi, je suis un Homme. Ceci explique cela.
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Lysandre Berthom

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MessageSujet: Re: Vamos à la playa | Lily   Vamos à la playa | Lily EmptyMer 15 Oct - 0:48

    Le visage dans les mains, Lysandre essaie de reprendre le contrôle avant de repartir en consultation. Epuisée, elle ressent du froid au bout de ses doigts. Elle se demande pourquoi elle a accepté la mutation  dans ce pays perdu. Sans doute ne se souvient-elle pas qu’elle n’a pas eu le choix : comment refuser l’ostracisme alors que sa tutrice l’avait pris en flagrant délit de consommation excessive de poches à nutriments ? La jeune infirmière anorexique préférait se nourrir par voie intraveineuse. Toute sa vie a été ponctuée de curieuses addictions. L’arrivée à Suna lui donna l’envie de dévorer des livres ; au sens propre du terme. Oui, Lysandre arrache des feuilles et les ingurgite une à une pour évacuer un trop grand stress.

    Aujourd’hui de nombreux patients sont entrés à la clinique pour soigner des blessures dues à une bagarre au centre ville. Au départ il ne s’agissait que d’une engueulade entre deux hommes éméchés mais les choses ont empiré lorsque l’un des deux a voulu embrasser à l’autre, par pur provocation.
    Lysandre, après avoir soigné quelques patients victimes de simples « dégâts collatéraux », reprend son souffle avant de  s’occuper de celui qui a voulu embrasser son ennemi. Elle lève les yeux au ciel et soupire avant d’attraper un petit livre coincé dans sa poche. Des gouttes de sueur commencent à perler lorsque le craquement de la page se fait entendre. Elle engouffre son déjeuner avec énergie ; elle sort de la salle de repos.


    «  MAADAAAAME, FRANCHEMENT J’AI MAL.
    - Ouais. J’arrive.»


    La feuille de papier dans l’estomac, Lysandre retourne ses manches pour aller soigner le serial-kisseur. Lysandre se retrouva décontenancée devant cet étrange être : le jeune homme avait l’allure d’une jeune femme. L’infirmière éprouvait de l’émotion pour lui, qui passait son temps à hurler sa douleur. Elle prit ses longs cheveux et les reposa tous du côté droit.


    « Euh. Ça risque de picoter » susurre-t-elle au moment de déposer du produit sur la nuque.

    « SA MERE, J’AI MAL » Cria-t-il à gorge déployée.


    Bon. Elle s’était trompée de produit. Il fallait qu’elle recommence. Ensuite elle s’aventura à recoudre les plaies parsemant le blessé qui passait son temps à pleurer sa souffrance physique. Progressivement, il ressemblait à un clown et non plus à une jeune fille. Le maquillage dégoulinait jusqu’à salir son décolleté. Attifé d’une jupette et de bottes en cuir, Lysandre ne savait pas comment l’appeler ; quel pronom utiliser ?


    « Docteur, j’ai terminé avec lu… ell… mon patient, je veux dire.
    - C’est bon Berthom, vous pouvez partir. Merci d’être restée.
    »


    Rien ne pouvait lui faire plus plaisir. Elle se précipita vers les casiers, elle se changea en deux temps, trois mouvements et elle respira l’air du dehors avec grand soulagement. Elle s’isola, agrippa son livre et arracha une feuille avant de la glisser sous ses dents.


    « T’es louche. »


    Son cœur fit un sursaut. Elle se retourna et reconnut son clown blessé. Désorientée, elle se mura dans son mutisme et commença à rentrer chez elle. Elle foulait le sable de plus en plus vite, elle cherchait à fuir son nouveau compagnon non désiré. Il ne manquait plus qu’un travesti dans sa vie… Ne souhaitant pas qu’il sache où elle élisait domicile, elle essaya de le semer. Droite, gauche, gauche, droite, droite, droite, gauche.


    Merde. Suis où ?


    Pendant ce temps, le travesti marchait à ses côtés et s’était mis à lui raconté toute sa vie. Ses premiers amours, ses déceptions, son maquillage, ses séances shopping. Peu à peu, Lysandre avait ralenti, il commençait à l’apprivoiser.


    « Hé mais, t’es sûre que t’habites là ? »
    - Non. Suis perdue.
    - T’es sérieuse ?
    »


    Nos compagnons au pas de moins en moins assuré erraient comme des âmes en peine. C’est alors que le travesti crut apercevoir un homme un peu plus loin. Il entraîna Lysandre à venir avec lui pour demander son chemin.


    « ‘scuse mo- »


    Lysandre assista à une scène chaotique entre les deux hommes : le clown « Ça » se prit une cigarette en pleine figure, il se fit arroser – ce qui permit d’éteindre la brûlure qui entamait le chemisier – et dénudé en un coup de main. L’angoisse croissante donna à Lysandre le réflexe de se nourrir d’une page en quelques secondes. Ensuite elle profita de sa formation en hôpital psychiatrique pour exécuter des gestes brefs et efficaces contre Ça. Elle l’agrippa, le poussa au sol et essaya de lui tenir les bras derrière le dos le temps que sa crise de nerf passe.


    « T’as conscience que c’est moi qui bouge pas ; c’est pas toi qui va me retenir. »


    C’est alors que Lysandre lança un regard désespéré au vieux pervers qui venait de dénuder son patient travesti. L’oiseau maigrelet à califourchon sur un grand gaillard à jupe donnait un spectacle burlesque.


    « Sinon, ça va toi ? » lui lança-t-elle.


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Armel Le Gereg

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MessageSujet: Re: Vamos à la playa | Lily   Vamos à la playa | Lily EmptySam 25 Oct - 18:24

Armel, c’est pas vraiment le type à vouloir tout chambouler, à tout foutre en l’air pour faire passer l’ennui. Il est bien trop paresseux pour ça. Et bien trop lâche. Non, lui il serait plutôt du genre à faire un bras de fer avec son oisiveté et la laisser gagner, comme ça, juste histoire de ne pas avoir à faire trop d’efforts. Loin de lui de vouloir gagner contre sa paresse, vraiment. Alors quand il voit le chantier dans lequel il s’est foutu, quand il comprend qu’il va devoir s’impliquer, il a presque envie de prendre sa paresse à son cou et s’enfuir avec au loin. Malheureusement pour lui, il est bien trop économe de ses gestes. Alors, l’air ahuri collé à la tronche, Armel regarde la Chose, celle qu’il avait jusqu’ici pris pour une jeune femme, s’effondrer et se faire enfourcher par une petite nénette. Et gueuler bruyamment son mécontentement. Le jeune homme soupire. Les jeunes, de nos jours. Ils ne savent plus s’exprimer sans foutre trente-six jurons dans une phrase. Ignorant superbement les insultes que la Bête lui adresse, il relève le nez vers la jeune femme. C’est qu’elle est mignonne, la petite nénette. "Ca va très bien, merci.". Et, ignorant toujours les grognements de la bête crevée sous le corps de la blondinette, Armel s’approche de la jeune femme et s’installe à son tour à califourchon sur le bonhomme, face à la jeune femme. Il trouve cette coutume très originale, mais il se dit qu’à chacun ses façons de vivre. Que ce n’est pas parce qu’à Konoha, on salue quelqu’un en tendant sa main, que tous les imbéciles du monde doivent faire la même chose.
 
La bête s’affole, grogne, semble vouloir ramper sous leurs fessiers pour s’échapper. Amusé, Armel calle ses fesses sur ses omoplates et le coince un peu plus sous son poids. Et tout ça, le sourire amical aux lèvres, comme si c’était parfaitement normal. De toute façon, lui, rien ne le dérange, plus rien ne l’étonne. Il arbore alors un sourire d’ange à la jeune femme, parfaitement disposé à faire plus amples connaissances avec la jolie blonde. Il lui doit bien ça ; en fait, elle lui a un peu sauvé la vie en lui évitant de se prendre une sacrée tatane de la bête en-dessous. Il lui tend alors une main amicale, un sourire gamin collé sur sa tronche d’adulte un peu paumé. " Et toi, ça va ?". Il se permet le tutoiement, se disant qu’ils sont maintenant suffisamment proches –au sens littéral du terme- pour laisser tomber les futilités du vouvoiement. Puis il observe quelques instants ses traits, devinant déjà sa réponse, et divague légèrement sur son teint pâle. Peut-être qu’elle aussi s’est fait avoir avec l’agence de voyage « Konoha Paradise ». En même temps, ils auraient dû se méfier dès qu’ils ont vu le nom pourri de cette agence. La prochaine fois, ils sauront.

Ses pensées sont interrompues par une espèce de gazouillis étouffés venant du dessous. Il jette un regard vers la Bête qui gigote sous ses fesses et comprend alors que la Chose est entrain d’étouffer sous son poids. Il se décale légèrement et, comme si le truc-d-en-dessous n’avait attendu que cela, le voilà qu’il débite une quantité de "enfoiré", "je vais te butter" et de "luciole" (hein ?). Accablé par tout ce boucan, Armel reprend sa place sur ses omoplates, adressant toujours un léger soupir à sa complice. Espérons qu’il va se la fermer. Ou qu’il va se fatiguer à s’agiter comme un asticot. "Tu le connais, l’asticot ?". Du bout du nez, il désigne la Chose et attrape au vol la main que cette dernière a enfin réussi à libérer. Rejetant son poids vers l’arrière, il emprisonne son poignet dans sa paume et attrape de l’autre, une clope. Toujours comme si ce rodéo était parfaitement normal. Du Armel tout craché. "Tu penses que ça lui prendra combien de temps pour se calmer ?". Non pas qu’il ait autre chose à foutre que de s’assoir sur un inconnu en plein du désert, mais c’est surtout que les cris étouffés de la Bête cessent. Ca devient fatigant. Et ça pourrait donner de mauvaises idées à sa main malicieuse.
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Lysandre Berthom

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MessageSujet: Re: Vamos à la playa | Lily   Vamos à la playa | Lily EmptyLun 3 Nov - 9:26



    Le cœur battant, Lysandre subissait un massage fessier clownesque à cause d'un (im)patient. Ses dents ne cessaient de jouer avec ses lèvres ; elles arrachaient des bouts de peau jusqu'au sang. Que faire maintenant ? Elle se sentait ridicule, assise sur ce fou, alors qu'un gars normal se tenait debout à côté d'elle. Lorsqu'il vint s’asseoir en face d'elle, elle se sentit rassurée. La jeune femme se sentait moins mal à l'aise : ils étaient deux à lutter contre un clown. Pourtant elle ne desserra pas l'étreinte, par crainte de voir l'animal s'enrager.

    Lysandre s'empêcha de rire lorsqu'elle comprit que la victime avait eu de la chance que son ennemi ne soit pas un sumo. C'est alors qu'elle essaya de calculer le poids de son interlocuteur. Son regard parcourut tout le corps de ce jeune homme qui ne semblait pas si musclé. Elle estimait une envergure maximale à 70kg. Si on rajoutait le corps de Lysandre, il devait y avoir pas moins de 110 kg sur le dos de l'énergumène.

    Elle revint sur Terre lorsque son compagnon d'infortune lui demanda comment elle allait. Allez Lysandre, essaie de t'exprimer correctement, tu dis que ça va et tout se passera bien, lui sifflait sa conscience. Parallèlement, son estomac grognait je vais dégueuler. En effet depuis l'arrivée de son nouveau TOC elle avait découvert que le corps humain supportait mal le régime des pages. Plus elle mangeait son livre, plus elle se sentait malade physiquement. Son alimentation calmait son esprit mais elle alourdissait ses intestins et empoisonnait son sang.
    Elle se faisait un sang d'encre ?! // Ta gueule narrateur.
    Malgré les pirouettes de son estomac, elle parvint à indiquer au jeune fumeur qu'elle allait relativement bien.

    Le sofa improvisé se remuait de plus en plus ; comment réagirait une infirmière digne de ce nom ? Lysandre repensait à ses cours. Que disait le prof ?

    /!\ FLASHBACK KIPU /!\

    « Souvenez-vous de ce que je vais vous dire, c'est très important car le jour où vous vous retrouvez dans cette situation il faudra bien réagir. Ne jouez pas les héros, appelez du renfort. C'est la base de votre métier. Vous n'êtes pas des médecins. »

    /!\ FIN DU FLASHBACK KIPU /!\

    Hin hin... Super utile. Merci Lysandre.


    Lysandre essaya d'identifier qui pouvait être le renfort dans cette situation. Elle pensa d'abord au jeune homme en face d'elle. Puis elle se souvenait de l’aérosol au poivre qu'elle avait dans son sac. En dernière solution il y avait une grosse pierre sur la droite. En espérant que ce ne soit pas plus lourd que moi pensa-t-elle.

    « Tu penses que ça lui prendra combien de temps pour se calmer ? »

    La voix du jeune homme sortit Lysandre de ses calculs pseudo-stratégiques. Que répondre à quelqu'un d'aussi proche ? Ses nausées se firent de plus en plus fortes. Elle avait peur de vomir si elle lui ouvrait la bouche pour répondre. Elle décida de répondre sans le regarder. Elle fixa fixement son regard sur la grosse pierre.

    Le mélange de l'odeur de la cigarette et des feuilles de papier dans l'estomac donnèrent à la jeune femme une forte envie de rendre tout ce qu'elle avait dans ses tripes. Mais avant cela, il fallait qu'elle réponde dignement à ce gars. Il fallait quelque chose de fin, d'intelligent, de scientifique. Lysandre voulait faire bonne impression.

    « Chaispas. »

    Chaispas ? Chaispas comme J'sais pas ? J'sais pas comme J'en sais rien ? Super l'infirmière ! Une autocritique infinie commença sous le crâne de la gamine. Torturée par ces pensées, elle en oublia ses problèmes gastriques. Fort heureusement, rien ne sortit mis à part un rot tonitruant. Elle osa espérer qu'il n'avait rien entendu, rien senti. Cet incident lui donna le réflexe d'enfoncer ses ongles dans ce qu'elle tenait. La bête ne tarda pas à hurler de douleur. Lysandre arrêta de se défouler sur ce pauvre homme. Il avait tant gesticulé que son haut s'était surélevé, laissant apparaître un sous-vêtement qui ne ressemblait pas à un caleçon. Une simple ficelle rose dépassait de la jupe. Magnifique. Elle remercia le ciel que le clown ait un collant épais sous sa jupe.

    « Tu peux partir si tu veux. » Dit-elle à celui qui lui faisait face, le regard posé sur sa pierre.

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